Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (98)

Étant libéré de bonne heure par mon client qui m’a fisté avec ses pieds, je rejoins la cabine où Jacqueline et Louis, Louisette et Jacques dans notre métier pensent faire seul leurs premiers couples de clients.
Fidèle à notre système c’est Frédéric et Frédérique les membres libertins de notre réseau obligés de se cacher à cause des paparazzi contrôlent que nos amis respectent intégralement les règles de déontologie de notre métier. Ces contrôles portent principalement sur l’alcool et surtout les préservatifs pour éviter de contaminer nos prochains clients ainsi que nous-mêmes entre nous car comme je le constate au fure et à mesure du temps nous sommes en plus de gros salops ou salopes des fous au sexe.
Jacqueline ou Louisette comme souvent à la suite d’un fiste très profond va terminer son travail dans les bras de Morphée.

• Jacques va me chercher un linge mouillé !

Il abandonne Frédérique qui pourtant semble de plus en plus sensible à ce qu’il lui faisait.
C’est comme pour moi, la langue gourmande de Frédéric commence à me faire de l’effet.
J’attends que Jacques me donne le linge et que je le place sur le front de la petite pute que je pénètre toujours de ma main.
Deux actions me font éclater, la stimulation sur mon clito et le bruit de la main produit quand j’enlève de la grotte de ma jolie amie.
Après m’avoir amenée le linge mouillé, Jacques place Frédérique en levrette et la prend par-derrière.
Frédéric se relève rejoint le couple et sans qu’il y ait de réticence de sa part, il encule le beau Jacques.
C’est ce moment que choisit Louisette pour reprendre vie et la vision à quelques centimètres de son homme sodomisé là refait tomber dans les pommes.
Aux mouvements que Frédérique imprime à la queue qui la taraude, je sais qu’elle fait travailler ses muscles vaginaux ce qui provoque une cascade en chaîne.
Elle jouit, il jouit, il jouit et ils jouissent.



Ils tombent comme des poupées russes disloquées.
Je les regarde récupérer tout en caressant la fente de mon amie.
Comment va-t-elle réagir à la scène sodomite que son mari lui a fait vivre les yeux au plus près de la pénétration anale que son homme a acceptée !
Quand il émerge, ils partent vers la salle de bain, un moment plus tard l’eau qui coule masque mes paroles.

• Frédéric j’ai une proposition à te faire.
• Venant de toi, je suis tout ouï.
• Depuis que Virginie a changé ma vie et qu’elle m’a fait entrer à l’institut, j’ai apporté quelques petites touches personnelles à l’organisation du centre.
Je suis bien consciente que l’institut est sa création.
Vous savez que je suis informé de la gestion de l’organisation des escortes girl qu’elle a développée et je pense qu’il faut développer un nouveau concept sur le site qui nous permet de trouver notre travail, notre plaisir mais surtout tout notre fric.
Voilà ce que j’ai imaginé !

Je lui explique mon concept en détail mais qu’il serait dangereux à dévoiler dès maintenant.

• Super idée, nous devons faire une réunion des actionnaires en septembre pour entériner ton entrée au capital.
Je présenterais moi-même ton idée et si elle est adoptée, nous leur dirons qui est le concepteur du projet.

Louisette et Jacques sortent de la chambre main dans la main.
Si tension il y a eu dans le couple à la suite de la sodomie acceptée par le mari ils l’ont vite aplani.
J’aime ces couples qui comme moi prennent rapidement leurs décisions, bonne ou mauvaise, le choix fait, on regarde devant en restant positif.
Frédéric intersepte notre couple avant qu’il franchisse la porte de la salle de bain.

• Mes amis votre éducation se terminent car à notre âge il nous faut beaucoup de repos.
Virginie aura un avis plus que favorable, notre nuit aura été bénéfique. Louisette et Jacques pensez-vous avoir pensé à tout depuis le début de soirée ?

Un blanc se fait entendre.


• Tenez, voici votre enveloppe avec les quatre mille euros prévus. Qu’auriez-vous fait si j’avais oublié de payer ?
• Vous êtes sympathique on vous faisait confiance et j’allais vous demander de me la donner.
• Dans le monde des escortes vous ne devez faire confiance à personne, vous acceptez un contrat il vaut dans les deux sens, pas d’argent pas de sexe.
Pas de sexe plus de travail pour l’organisation.
Avez-vous compris la leçon ?
• Oui monsieur !
• Oh ! évite le monsieur d’un seul coût, merci Frédéric et Frédérique.

Les deux couples s’embrassent à bouche gourmande.
Après être passés sous la douche les uns et les autres, nous nous couchons et dormons tous emmêlés jusqu'à ce que l’on frappe à la porte.
Frédéric fidèle à son habitude avait commandé le petit déjeuner pour 8 heures, notre départ étant d’une façon contractuelle prévue à neuf heures.
Je vais ouvrir nue comme a mon habitude.
Le jeune réceptionniste qui m’a apporté mon enveloppe cette nuit est devant moi.
Il regarde désespérément le numéro de sa fiche posé sur la table et le numéro sur la porte.

• Entrer la commande est bien pour ici !

Un peu groggy, il pousse la table au milieu de la pièce et cherche désespérément la porte de sortie.
Pour compléter sa panique Frédérique et Louisette nue sur le lit s’embrasse.
Il va la franchir lorsque Frédéric le rappel.

• Jeune homme ?

Il lui tend un billet de cinquante euros préalablement préparés sur la table de nuit.
Il remercie et sort sans demander son reste.

• Christine, veux-tu dire à Virginie que nous gardons nos amis pendant quarante huit heures.
Nous avons un appartement donnant sur la plage de Saint-Jean-de-Luz et nous aurons plaisir à les inviter pendant ces deux prochains jours s’ils sont d’accord bien sûr.
• Aucun problème, vous n’aurez cas les raccompagner directement chez moi à Saint-Palais et ainsi faire connaissance avec tous nos invités !

Nous déjeunons sur le balcon de la chambre sous un soleil du matin resplendissant.

À 9 heures je rejoins ma voiture sur le parc.
En passant, je passe près de la réception ou mon porteur d’enveloppe se tient.
Je le regarde droit dans les yeux.

• A bientôt !

Comme je l’espérais, il devient rouge, je devrais dire rubicond !
Auprès des voitures plusieurs d’entre nous sont déjà arrivés.
Comme nous l’avions prévu la veille, dès qu’une voiture a récupéré tous ses occupants elle s’en va une nouvelle fois pour éviter les suspicions des gérants de l’hôtel.
Rendez-vous sur l’autoroute en face de l’arrêt d’hier.

Virginie parle avec Carl.
Valériane est déjà partie dans la première voiture.
Tous sont là sauf Jacqueline et Louis mais je sais pourquoi ainsi que Véronique. Jacky attend au volant de sa voiture c’est lui qui les a amenés, il comprend que je lui fais signe de partir.
Il y a assez se place pour que nous ramenions la retardataire dans la voiture de Virginie.
J’allais monter voir avec Carl où elle est quand elle sort.
Elle toujours tiré à quatre épingles, sa veste est de travers et les cheveux en bataille.
Elle tire sa valise derrière elle comme un zombi pourrait le faire en tenant fermement sur son cœur plusieurs enveloppes.
La portière arrière de la C4 Cactus est ouverte, elle s’installe et s’endort immédiatement.
Je récupère sa valise et la place dans le coffre.
Nous remercions Carl qui nous signale que la prochaine fois nous irons manger la choucroute en Alsace en octobre si nous avons passé une bonne soirée fructueuse.
Nous faisons signe à Fred et Fred ainsi qu’à Jacqueline et Louis lorsque nous voyons sortir cinq hommes bien mis, costume trois-pièces et attachée caisse.

• Tient mes, et se rendort.

Nous embrassons Carl en le remerciant pour le travail qu’il fait pour nous puis nous prenons la route en direction de l’autoroute.
Tout le temps du trajet, Véronique dort à poings fermés la tête calée par l’appui-tête.

Je profite d'être seule pour lui raconter ce qui m’est arrivé et les trois mille euros de gratte que je me suis faits.

• De mon côté tout a été parfait, Ondine a été à la hauteur avec le couple qui nous recevait même si Jordy a manqué un peu d’assurance au début mais tout c’est arrangé au fil du temps, bref Océane et Georges sont pour l’organisation de bonne recrue.

Nous arrivons et nous nous regroupons autour de notre voiture. Marie-Ange et Valériane viennent voir Véronique et chaque fois elles se font rembarrer.

• Laissez-moi dormir !
Chaque fois qu’elles essayent de lui prendre les enveloppe la réponse est la même.

• C’est à moi je les ai bien gagnés !

Nous reprenons la route jusqu’à Saujon.
À quelques kilomètres de là, j’envoie un message général.

« Arrêt, vous nous suivez »…

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